Une chose qu'on a jamais suffisamment comprise, c'est que la photographie a complètement transformé la peinture figurative.
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Peindre, c'est comme projeter le tracé de son propre système nerveux sur la toile. /.../
Je voudrais que mes tableaux donnent l'impression qu'un homme s'y est faufilé, comme un escargot, y laissant une traînée de présence humaine et une trace des évènements passés, comme l'escargot laisse son mucus.Francis Bacon, vu dans Libération (Bacon à plein tubes par Gérard Lefort, jeudi 7 décembre 2006) à propos de la parution de : David Sylvester, Francis Bacon à nouveau, traduit de l'anglais par Jean Frémon, André Dimanche éditeurs, 267pp. Martin Harrison, Francis Bacon. La Chambre claire, texte français de Daniel De Bruycker Actes Sud 225pp.
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